Les psychologues, des professionnels au service de votre mieux être

Réné DESCARTES disait que la raison est la chose du monde la mieux partagée. Je n'aurais certainement pas tort si je dis que le bonheur est la chose du monde la mieux recherchée. Mais ce qui est paradoxal c'est que tout le monde cherche le bonheur mais peu d'entre les mortels sont vraiment heureux. Et les humains, au lieu de construire le bonheur, cherchent souvent à fuir le malheur.
Comme toute chose dans la vie, le bonheur s'obtient au prix de vigoureux efforts et il n'est point besoin d'être riche avant d'être heureux.
En tant que Psychologues et acteurs du bien-être des autres, nous devons nous engager résolument dans la quête de notre propre bonheur. Car on ne peut donner aux autres ce qu'on a pas soi même.

calmos bienvenu parmi nous
c'est pertinent et profond ce que tu as dit.cependant, le médecin malade lui même ne peut-il pas soigner les autres qui ont besoin de ses soins? "l'homme de Dieu"n'est pas le plus parfait pourtant il n'arrête de demander aux autres de se perfectionner.on peut donner aux autres ce dont ils ont besoin et dont nous sommes en devoir de leur apporter en tant que psychologue. c'est là la nécessité de dépassement de nous même.

Pardonnez moi, mais je pense surtout qu'on essayee de surpassé ce qui n'est pas de notre sort, tout la vie active et professionnel, les choix politiques ect ... empatisses sur notre vie personnel et donc cela joue sur notre bonheur present. Mais pas sur le bonheur global.


Je crois qu'on sait vraiment si on a été heureux que quand on se pose sur son passé et les chemins que l'on a pris. Mais avant cela on se bat pour tenir et vivre. On pense pas forcement "que je suis triste" "que je suis heureux", mais "j'dois m'occuper de cela, payez ceci, pensez à ..."

explique toi un peu plus gourmandise

Pour moi on a pas le temps de se poser la question si on est heureux actuellement (sauf si on a des choc traumatique). Mais la vie active (travail, enfant, la vie quotidienne) fait qu'on s'inquiète plus de comment ça se passera demain plus que de "merde est-ce que je suis heureux", c'est plus "merde comment j'vais payer ma facture, ou nourrir mes gosses".
Pour moi on sait vraiment si on a été heureux dans sa vie, que si on s'arrete pour y reflechir.

et penses tu que cette réflexion ne mérite pas d'être faite? qu'on soit psychologue soit même ou pas?c'est en quelque sorte un bilan qui doit être quotidien pour corriger sa façon de vivre, se donner une ligne de vie autre si l'ancienne ne nous satisfait pas.

Tout le monde n'en a pas besion celon moi.

chere amie c'est en fait cela l'introspection.il faut faire le bilan.
cela permet de bondir loin

Tout le monde est différent, j'ai vue des gens bloqué dans l'introspection, et donc franchement à croire qu'on peut tout analyser même la vie ... je pense que cela dépend des gens parce que certain n'y arrive pas et je les comprend.

Merçi chers collègues. Vos réflexions sont intéressantes et très pertinentes. Quand un sujet vient en thérapie, c'est souvent parce qu'il a un problème, ou qu'il vit un mal être. Il ne se demande pas forcement s'il est heureux ou pas. il sait qu'il vit une souffrance et il demande de l'aide parce qu'il veut s'en sortir.
Comment le thérapeute peut l'aider si lui même n'est pas équilibré?
Pourquoi la plupart des psychanalystes avant d'exercer leur métier se font eux mêmes analysés?
Est ce qu'on peut aider un sujet à dénouer ses blocages si soi-même on a des blocages?
Ce sont des questions qui méritent quand même qu'on s'y attarde.